Dragonica

6.5 Overall Score
Graphismes: 7/10
Jouabilité: 7/10
Durée de vie: 6/10

Un univers sympa

Du monster bashing à toutes les sauces

Note : Ce test a été réalisé il y a maintenant plus de trois ans. Le jeu est suceptible d'avoir subi des évolutions plus ou moins importantes au fil des mises à jours.

Informations

NOM DU JEU: Dragonica

DEVELOPER(S): Barunson Creative

PUBLISHER(S): Gala-Net

PLATFORM(S): PC

GENRE(S): MMO-RPG

DATE DE SORTIE: 10 juin 2009

S’inscire sur Dragonica

On se retrouve aujourd’hui pour le test de Dragonica! C’est du monster Bashing en masse, ce sont de petits monstres mignons, un univers en 3D cartoon, des fées, guerriers, archers et j’en passe!

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Dragonica est un jeu de rôle massivement multijoueur pour joueurs occasionnels. L’aventure est gratuite mais du contenu additionnel peut être acheté en ligne via des micro-transactions. Les décors et les personnages bénéficient d’un rendu 3D cartoon. Le gameplay mixe des éléments d’action et d’arcade. Le portail gPotato, réputé pour la qualité de ses jeux massivement multijoueurs gratuits, tels que Flyff ou Rappelz, ou encore Allods, nous offre un F2P qui semble très attratif : Dragonica. Ce MMORPG d’origine coréenne mise sur son univers délirant, sa représentation en 3D sidescrolling et ses combats typés beat’em all pour se démarquer de l’offre traditionnelleen la matière. Très mignon, mais il ne va pas convaincre tout le monde…

Il y a bien longtemps, le monde fantastique de Dragotaka était prospère, Humains, Dragons et autres créatures vivaient en harmonie. Mais ça n’allait pas durer. Le sinistre Seigneur Elga, trahit le Grand Seigneur Dragon, et leva une armée pour se révolter et envahir le monde des humains. Les conflits qui suivirent amenèrent les êtres à se diviser en deux camps : d’un côté les Nobles dirigés par le Seigneur Dragon, qui défendaient la cause des humains et du bien, et de l’autre, les Séides, qui obéissaient aux ordres du traître Seigneur Elga. Dès lors, la Grande Guerre commença et mit un terme à la paix qui régnait autrefois. Mais, c’est dans ces temps de troubles que cinq Héros firent leur apparition et lors d’une bataille contre Elga lui même, réussirent à le capturer et à l’enfermer dans la Prison Labyrinthe de la Chambre des ombres. Le monde connu alors à nouveau une grande période de prospérité, Elga n’était plus une menace. Ce n’est que mille ans plus tard, que le pire survint. Une belle et mystérieuse enchanteresse nommée Paris entra dans la Prison qui semblait pourtant bien gardée, et délivra Elga. Aujourd’hui, une sinistre force s’étend sur Dragotaka, corrompant toutes ses adorables créatures en les rendant hostiles à tous les habitants du royaume. La nouvelle armée du Seigneur du Chaos est de retour. En tant que jeune et valeureux combattant, vous avez fait vos preuves auprès de vos maîtres, qui vous ont finalement donné la lourde tâche de faire partie de l’armée des rebelles et de mener à bien la défaite d’Elga. Voyant votre paisible monde se détériorer à chaque instant, il va vous falloir voyager, évoluer et grandir pour lutter contre le fléau qui s’étend. Combattez aux côtés de nombreux compagnons de guerre et incarnez le dernier espoir, suivez votre destinée, suivez la voie du Héros.

Puis vient le moment de créer votre personnage. Vous devez effectuer un choix parmi quatre classes : le guerrier, le mage, l’archer et le voleur, sachant que chacun de ces archétypes propose une spécialisation une fois le niveau 20 atteint. Ainsi, le voleur pourra devenir acrobate ou assassin. Et ce n’est pas tout : au niveau 40, votre personnage connaîtra une seconde évolution dans la voie que vous lui aurez choisie. L’assassin, par exemple, deviendra un ninja. Tout comme Flyff, les classes peuvent évoluer deux fois, et vers des « métiers » différents. Typique des MMORPG coréens, ce système d’évolution reste plaisant, même si les férus de construction de personnages trouveront ici matière à reproche. Vos différentes caractéristiques (force, intelligence, vitesse…) évoluent en effet automatiquement à chaque gain de niveau (ce qui est tout de même dommage, puisque l’on aurait apprécié monter les points nous même), vous contraignant à vous rabattre sur les arbres de compétences pour y trouver un certain espace de liberté. Ces arbres vous permettent d’acquérir et d’améliorer des compétences spécifiques à votre classe (vous obtenez donc un arbre supplémentaire aux niveaux 20 et 40, tout comme Flyff. Il faut savoir que l’arbre supplémentaire du level 20 est bien plus puissant que l’arbre de départ, et l’arbre du level 40 propose des compétences destructrices). Dommage qu’il y ait trop de compétences « incontournables », qui nuisent quelque peu à la variété des builds. Quelques mots, enfin, sur la personnalisation graphique : aussi sommaire que de coutume (avec seulement quelques choix de visages et de coupes de cheveux), elle souffre surtout du manque de variété des armes et des armures. 

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Dragonica est donc un MMORPG classique dans ses fondements, mais il se pare d’une vue latérale avec scrolling horizontal qui lui confère une grande part d’originalité. En effet, la plupart des MMORPG étant en 3D dans un monde immense à explorer, ce F2P est très original pour son côté scrolling horizontal. L’application de ce type de représentation à un jeu massivement multijoueur a déjà été expérimentée avec succès par Maple Story (qui été en 2D), à ceci près que Dragonica est réalisé en 3D. Sachant que Maple Story a été apprécié au grand public, Dragonica devrait faire des merveilles! Cela lui permet d’afficher des décors colorés et chatoyants dans lesquels les personnages peuvent se déplacer un peu en profondeur, ou encore utiliser des échelles ou des trampolines pour passer d’un plan à l’autre. Il faut un petit temps d’adaptation pour s’y faire, mais vous finirez par retrouver vos réflexes de vieux routard du jeu de plates-formes en 2D, d’autant que le level-design se montre suffisamment convaincant pour susciter l’adhésion des plus réfractaires. Le problème, c’est que ce type de représentation ne va pas sans son lot de contraintes. Le monde est scindé en une pléiade de petites zones de jeu reliées entre elles par des téléporteurs, si bien qu’on n’a pas vraiment l’impression d’évoluer dans un MMO. Corollaire à cela : la progression très linéaire vous condamne à suivre toujours le même cheminement pour vous rendre à un endroit donné ; il vous faut donc supporter de pénibles allers-retours, même si des parchemins permettent de se déplacer plus rapidement. Cela dit, rien de vous empêche de tuer des monstres à droite à gauche. Plus vous tuez de monstres, plus vous aurez de bonus, vu qu’il y a un décompte pour le nombre de monstre tué.

Mais là où Dragonica marque des points, c’est indéniablement au niveau des combats, qui s’inscrivent dans la tradition des beat’em all de la grande époque. Si vous disposez d’une attaque de base qui vous permet de porter l’essentiel de vos coups, ainsi que de diverses compétences qui viennent renforcer votre puissance de feu, c’est votre capacité à placer des combos qui fera souvent la différence. Vous avez en effet la possibilité d’enchaîner, sans aucun temps mort, les coups et les pouvoirs de façon à causer le plus de dégâts possible à vos adversaires. Plus vous faites de combos, et plus votre gain d’expérience augmente. Cela est très positif, puisque si vous attaquez 100 fois sans vous arrêtez, vous gagnerez 1.5X d’expérience! Cela permet d’augmenter les niveaux plus vite, à condition que vous ayez une bonne manière de jouer. Ainsi, après avoir propulsé un ou plusieurs ennemis dans les airs, vous pouvez opter pour un combo aérien ou bien le(s) frapper au sol pendant qu’il(s) se relève(nt) péniblement de sa (leur) chute. Il en résulte un aspect arcade aussi réjouissant que confus, surtout en groupe. Mais la dynamique des combats ne s’arrête pas là. Comme les monstres que vous affrontez surgissent souvent en nombre, il vous faut faire preuve d’une dextérité inhabituelle pour ne pas vous laisser submerger : vous devez reculer, charger, sauter, esquiver… Dommage que l’ensemble de ces actions doivent être effectuées par le biais du clavier, qui n’est tout de même pas l’outil le plus approprié. Il vous arrivera souvent de vous emmêler dans vos raccourcis, d’autant qu’ils ne sont pas pleinement paramétrables. Cependant, il est rare de voir un MMO se jouer au clavier, donc pourquoi pas!

Le problème de Dragonica, c’est que sous sa forme originale et attrayante se cache une vérité qui l’est beaucoup moins : le jeu est tout entier centré sur le monster bashing. Pour commencer, les quêtes secondaires sont aussi ridicules que décevantes : plus bavards que de coutume, les PNJ finissent systématiquement par vous envoyer tuer des monstres, même si cela n’a qu’un rapport très secondaire avec ce qu’ils viennent de raconter. Aucune évolution du côté des quêtes, et c’est bien dommage… Plus grave : la trame principale vous conduit très régulièrement à des points d’intérêt nommés Zones de Missions, qui consistent à aligner des séries de donjons instanciés se ressemblant tous plus ou moins, truffés de groupes de créatures à éliminer à la chaîne. Amusantes au début, mais vite lassantes en raison de leur caractère ultra-répétitif, ces missions instanciées ont toutefois un double intérêt : elles vous permettent de récolter des items intéressants et suscitent le jeu en groupe. Chaque mission se conclut en effet par un affrontement contre un boss qu’il est préférable de négocier à plusieurs, d’autant qu’il est accompagné de sbires qui ne sont autres que les boss des missions précédentes ! Et au cas où vous ne seriez pas rassasié par ces instances, un compteur situé à droite de l’écran vous incite à poursuivre votre farming intensif en vous offrant une récompense au bout de 100, 300, 500, 700 et 1000 créatures massacrées. Cependant, les donjons peuvent être très amusants si vous êtes dans un groupe chaleureux. Mais évitez d’enchaîner plus de 3 donjons à la suite, pour ne pas se lasser du jeu.

Que le monster bashing vous soit servi à toutes les sauces, ce n’est pas vraiment une surprise en soi dans un MMORPG coréen, mais on attendait sans doute autre chose de Dragonica…

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Test dans les détails

Personnalisation

Dans Dragonica, la personnalisation du personnage est très limité. En effet, le visage change, ainsi que les coupes de cheveux. Rien de très poussé, vous ne trouverez rien de grandiose dans cette partie là. De plus, les clones, c’est à dire les personnages qui se ressemblent, sont pour ainsi dire, partout. On se croirait dans STAR WARS : L’attaque des clones, car à part la couleur des cheveux et les classes qui changent, il n’y a rien de différent. Les visages, même si l’on peut les choisir, ne donnera aucune différence entre deux joueurs.

Les Classes

Vous devez effectuer un choix parmi quatre classes : le guerrier, le mage, l’archer et le voleur, sachant que chacun de ces archétypes propose une spécialisation une fois le niveau 20 atteint. Ainsi, le voleur pourra devenir acrobate ou assassin. Et ce n’est pas tout : au niveau 40, votre personnage connaîtra une seconde évolutiondans la voie que vous lui aurez choisie. L’assassin, par exemple, deviendra un ninja. Tout comme Flyff, les classes peuvent évoluer deux fois, et vers des « métiers » différents.

Les niveaux et l’XP

Dragonica marque des points, c’est indéniablement au niveau des combats, qui s’inscrivent dans la tradition des beat’em all de la grande époque. Si vous disposez d’une attaque de base qui vous permet de porter l’essentiel de vos coups, ainsi que de diverses compétences qui viennent renforcer votre puissance de feu, c’est votre capacité à placer des combos qui fera souvent la différence. Vous avez en effet la possibilité d’enchaîner, sans aucun temps mort, les coups et les pouvoirs de façon à causer le plus de dégâts possible à vos adversaires. Plus vous faites de combos, et plus votre gain d’expérience augmente. Cela est très positif, puisque si vous attaquez 100 fois sans vous arrêtez, vous gagnerez 1.5X d’expérience! Cela permet d’augmenter les niveaux plus vite, à condition que vous ayez une bonne manière de jouer. Les niveaux peuvent être donc très rapides à monter!

Les Donjons et les Boss

Les donjons et les Boss sont très très présents. Cependant, on devrait plutôt parler d’une suite de couloir à faire, avec au final, le fameux boss! Plutôt intéréssant, mais très vite lassant à la longue. C’est pourquoi, il est conseillé de ne pas faire tout le temps ces donjons. Vous êtes en fait dans une zone, avec des monstres. Le but est de tuer tout les monstres de la zone pour aller au niveau suivant. A la fin, le Boss, qui vous donnera du fil à retordre. Il vaut mieux être en groupe, car cela est très difficile, à moins d’avoir une très bonne maîtrise pour jouer! Une fois le boss vaincu, des bonus s’offrent à vous suivant la technique que vous avez eu. Ainsi vous pouvez obtenir des objets équipements, potions d’expérienceetc…

Les équipements

Ici, les développeurs ont plutôt baclé cette partie. Très très classique, les armes et équipements manquent d’un très grand manque de variété! En effet, on peut acheter un set à tel level, puis on doit attendre d’être à plusieurs levels supérieurs pour acheter le nouveau set. De plus, les équipements se ressemblent pour la plupart. Enfin, les armes, comme les armures peuvent s’abîmer. Il faudra donc ou reforger, ou racheter les armes et/ou équipements. C’est assez embêtant pour ceux qui sont loin d’un marchand d’arme et d’équipement…

Les drops

Les monstres lâchent des petites pièces qui sont la monnaie officiel de Dragonica. Un bon point, les pièces se ramassent automatiquement, telle la fée de Spyro ramassant les rubis, émeraudes etc… Pour les quêtes, il suffit de tuer les monstres cibles, et c’est dans la poche. Il est inule de cliquer sur le monstre et de ramasser les objets qu’il a déposé. Cela se fait automatiquement, et cela va en ravir plus d’un!!

La communauté

Etant un jeu plutôt style cartoon, ce jeu comporte des enfants de 12/13 ans, ainsi que des adolescents allant jusqu’à 17 ans environ. La communauté est, comme la plupart des jeux, pas au plus haut point. Cependant, les MJ sont dévoués pour vous aider du mieux qu’ils peuvent. Certaines personnes vous aideront, principalement dans les donjons pour les réussir, d’autres vous regarderont avec un air supérieur, et continuront leurs chemins sans la moindre réponse. On aurait pu s’attendre à mieux…ou pas…

Le Cash Shop

Le cash shop est la principale source de revenue pour les jeux massivement multijoueurs ne nécessitant pas d’abonnement. Un peu comme ses partenaires Flyff, Rappelz ou encore Allods Online, celui-ci propose des items fashio permettant de se différencier de tout les autres personnages. Des potions permettant de doubler son expérience sont aussi présentes. Bien évidemment, le cash shop se fait en échangeant des Gpotato, eux-même échangés depuis des Euros. Mais c’est cher!!!

Qualité vidéo, graphismes, bande-son

La qualité vidéo est très appréciée. En effet, le style cartoon combiné au 3D sidescrolling et ses combats typés beat’em all rend Dragonica très attractif! Les graphismes snt très mignon, et il va de soit qu’ils conviendront plus aux jeunes enfants! Cependant, l’univers chatoyant va ravir aussi les personnes voulant voir la vie en couleur! La bande-son, sympa au début, mais devient vite lassante à la longue. C’est pourquoi, mieux vaut couper votre son et prendre votre MP3/MP4 et écouter de la belle musique, variée et qui vous détende! Par contre, la cinématique de début, retraduite en français est un vrai régal!

 

Mon ami combattant va m’aider! J’aurai eu du mal à le battre seul, c’est cool !

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Test général

Graphismes

Mignon et coloré, le rendu visuel de Dragonica fait partie de ses atouts, même si le jeu pèche un peu sur le plan technique (on regrette notamment que la résolution, bloquée au 1024×768, conduise à jouer en mode fenêtré). A part cela, le graphisme des personnages, tout comme des monstres est sympathique. L’univers du jeu en global et bien réalisé, même si certains décors se ressemblent par moment.

Jouabilité

Le clavier a été bien pensé, même si cela est des fois difficile à jouer. En effet, contrairement à la plupart des F2P, celui-ci propose un intéret en ne jouant qu’avec le clavier! La souris est inutile! Cependant les touches de raccourcis, additionner aux touches de déplacement, cela fait un peu beaucoup, et on aurait aimé connecter une manette PCpour jouer afin de faire des combats très dynamique, dommage!

Durée de vie

Pour ceux qui sont prêts à accepter une progression entièrement basée sur le monster bashing, Dragonica ne manque pas de contenu. En revanche, le jeu devra se doter d’un système d’artisanat plus complet, d‘un mode PvP plus abouti et des fonctionnalités promises(guerres de guildes, familiers) pour parvenir à convaincre les autres. Mais le principal défaut est de tuer…toujours tuer…

Bande son

Les thèmes musicaux sont à l’image du jeu : dynamiques et agréables, mais peu variés et vite répétitifs. De leur côté, les effets sonores ont suffisamment de pêchepour renforcer l’aspect arcade et nerveux des combats. Un gros plus dans le jeu sont bien évidemment les voix françaises! Mais étant donné la répétitivité des musiques, vous allez couper le son au bout d’un moment.

Scénario

On s’imagine un superbe scénario, puisqu’on a le droit a une cinématique de haute qualité, suivie d’un petit topo sur chacune des classes de personnage, ce qui est plutôt sympa. Mais dès les premiers pas dans le jeu, ça se gâte : un humour pas souvent super, et des quêtes toujours aussi banaleles unes que les autres!

Note générale du Jeu : 6.5/10

Dragonica est un bon petit MMORPG proposant un univers sympa, un rendu visuel original et des combats dynamiques qui évoquent les grandes heures du beat’em all avec leurs combos dévastateurs. Pourtant, on se rend vite compte que les combats sont ultra-répétitifs, ainsi que le jeu en général. En effet, Gpotato nous propose des jeux différents, mais il est clair que l’on ne s’attardera pas trop sur cet opus, et qu’on préfèrera jouer à Flyff, Rappelz, ou encore leur magnifique Allods Online!

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Note importe : Le test a été réalisé avant 2012 et certaines parties du test ne sont donc plus à jour.

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