Dream of Mirror Online

6.5 Overall Score
Graphismes: 7/10
Durée de vie: 7/10
Scénario: 6/10

Les interactions entre joueurs

Level design décevant

Note : Ce test a été réalisé il y a maintenant plus de trois ans. Le jeu est suceptible d'avoir subi des évolutions plus ou moins importantes au fil des mises à jours.

Informations

NOM DU JEU: Dream of Mirror Online

DEVELOPER(S): Softstar

PUBLISHER(S): Game Media Networks

PLATFORM(S): PC

GENRE(S): MMO-RPG

S’inscire sur Dream of Mirror Online

Dream of Mirror Online sur PC est un jeu en ligne massivement multijoueur inspiré des mythes chinois. Dans ce vaste territoire, le but du joueur est de mettre la main sur un artefact ayant le pouvoir de créer ou détruire le monde. Au départ, vous avez le choix entre quatre races et six compétences pour créer votre avatar. Vous partez ensuite en quête, seul ou à plusieurs, afin d’accumuler de l’expérience et de l’argent.

Les MMORPG Free to play (téléchargeables gratuitement et jouables sans abonnement) se font de plus en plus nombreux sur le marché, signe de la viabilité des modèles économiques basés sur un item shop. On va donc s’attendre dans les jours qui viennent à de nombreuses arrivées. Les grands gagnants, ce sont les joueurs, qui bénéficient d’un choix de plus en plus large en la matière. Bien que non localisé, Dream of Mirror Online, disponible sur le portail européen Gametribe, rencontre un succès que nous ne pouvions ignorer, c’est pourquoi nous allons en étudier les aspects à travers ce test.

Dream of Mirror Online (aussi connu sous le nom de DOMO) vous entraîne dans un monde qui s’inspire de la Chine ancestrale (donc il y aura des clins d’oeil envers la Chine), et plus particulièrement celles relatives au Miroir de Kunlun (d’où le nom Mirror dans le titre du soft). Il s’agit d’un artefact conçu à l’origine pour sauvegarder, en les reflétant, les créations du monde réel. Même si le Miroir de Kunlun est veillé par Douze Rois, il a commencé à dysfonctionner : le monde parallèle qu’il régit n’est plus le reflet du monde réel, ce qui va amener à des changements dans ce monde, par exemple de nouvelles formes de vie étranges commencent à y apparaître. Vous êtes donc, lorsque vous entrez dans le jeu, sollicité par l’un des Douze Rois, et vous confie la mission suivante : rétablir l’équilibre des reflets.

La phase de création de votre personnage vous propose de choisir entre quatre races : les Félins sont taillés pour le combat (au corps à corps), les Sprites compensent leur petite taille par leur dextérité (précision et rapidité), les Sylphes excellent dans les arts magiques (comme tout bon magicien dans chaque MMORPG) et les Humains sont, comme d’habitude, les plus polyvalents (les plus puissants en terme d’attaque et défense). La personnalisation de votre avatar n’est pas très poussée, mais au moins, vous pourrez tout de même modifier sa morphologie et lui choisir une belle coupe de cheveux (un peu dans le style de Flyff, il faut admettre). Vos premiers pas dans l’univers de DOMO annoncent la couleur : le jeu sera (justement) très coloré, très sucré, très « kawai » (c’est pourquoi les jeunes voulant commencer dans le monde du MMO seront conquis par celui-ci). Le style visuel est un mélange de cel shading pour les personnages, au design très manga, et de textures cartoonesques à la World of Warcraft pour les environnements. Bien qu’il facilite l’intégration des personnages dans le décor, l’aspect technique du jeu déçoit, la 3D souffrant d’un cruel manque de polygones. Mais le charme finit par opérer en raison d’une dimension artistique réussie. De toute manière, il ne faut pas avoir de problème avec les cochons volants ou les grenouilles géantes pour apprécier DOMO : le bestiaire semble en effet tout droit sorti du Voyage de Chihiro (effectivement, même les monstres les plus repoussants ont un certain charme).

Il est d’autant plus regrettable que l‘univers soit si générique et dénué de personnalité. Chemins forestiers, lacs paisibles et canyons escarpés se succèdent sans jamais vous surprendre (même si cela reste des paysages magnifiques). La plupart des zones qui constituent le monde de DOMO souffrent surtout d’un level design fort peu convaincant : exit les parcs à monstres typiques du genre, et bonjour les couloirs à monstres à la Granado Espada (pour ne pas citer Guild Wars, voir Tales of the World sur PSP). Il est en effet impossible de gravir les collines ou d’aller batifoler dans l’eau (contrairement à Shaiya où l’on peut faire les deux), le jeu restreignant souvent votre soif d’exploration à des chemins truffés de créatures de toutes sortes. Sans doute ce level design décevant était-il destiné à justifier la présence d’une fonction de vol : accessible dès le niveau 15, elle vous permet de fendre les airs en chevauchant votre arme (exactement comme Flyff dans le genre). Mais là encore, la liberté n’est qu’illusoire, étant donné que vous ne pouvez atterrir qu’à certains endroits balisés et qu’il est impossible de parcourir l’univers de DOMO d’une seule traite, celui-ci étant découpé en plusieurs zones reliées par des portails. L’option devient donc beaucoup plus anecdotique que dans un Fly for Fun (les joueurs préfèreront donc s’attarder sur Flyff).

En dépit d’un univers qui risque de vous laisser sur votre faim, DOMO parvient à procurer un vrai plaisir, qui tient essentiellement, comme dans bon nombre de MMO asiatiques, dans le développement de votre personnage. Vous débutez en tant que simple citoyen, mais avez la possibilité, une fois le niveau 10 atteint, de choisir une des douze professions proposées par le jeu : Swordsman, Doctor, Shaman, Thief, Martial Artist, Hunter, Mercenary, Musician, Wizard, Fencer, Dancer et Merchant (ces classes seront familières si vous avez joué à Ragnarok Online). Il faudra pour cela vous acquitter d’une petite quête spécifique à chaque classe. Pour donner un exemple, mon personnage ayant choisi d’être mercenaire s’est vu proposer une tâche originale : maîtriser trois armes différentes en combattant suffisamment longtemps avec chacune d’entre elles pour faire baisser leur durabilité (c’est pas très difficile, et surout pas très recherché comme quête). A l’instar d’autres jeux du genre, DOMO donne la possibilité de changer de profession à tout moment pour tenter d’en monter une nouvelle, tout en conservant certains bénéfices de la précédente (on préfèrera le style de double classe comme dans Runes of Magic). Cette possibilité de mixer les classes donne une latitude importante au développement de votre personnage.

Cette liberté compense en partie le nombre restreint de compétences liées à chaque profession, qui aurait tendance à rendre les combats quelque peu répétitifs (les combats répétitifs, plus un manque de compétences fait de ce jeu un MMO sans grand intérêt). Ces derniers se résolventde façon très simple : il suffit de cliquer sur un ennemi pour voir votre personnage l’attaquer à répétition. Chaque coup porté avec succès fait monter une jauge de combo, vous permettant une fois pleine de déclencher un coup spécial. Vous pouvez également utiliser les compétences de classe mentionnées plus haut, mais seulement de temps en temps, car elles disposent un cooldown plus ou moins long et vident progressivement votre réserve de MP (points de magie). Notez qu’en effectuant une quête spécifique ou en allant dépenser quelques deniers dans l’item shop, vous pouvez bénéficier d’un familier susceptible de vous apporter un soutien bien utile dans les combats. Car s’il reste possible de soloter dans DOMO, il est fortement conseillé de jouer en groupe (c’est là tout l’intérêt d’un MMO). J’ai eu le malheur, à titre personnel, d’aller affronter seul le Flying Frog King, passage obligé dans la fameuse quête du vol. Et que s’est-il passé? Ce fut l’occasion de ma première mort et de la perte d’expérience qui lui est liée.

En réalité, et c’est là son originalité principale, DOMO tente régulièrement de vous extraire de vos longues séances de grind solitaire pour vous obliger à tisser des liens sociaux. Tout, ou presque, est fait pour vous inciter à interagir avec les autres joueurs. Former un groupe est obligatoire pour certaines quêtes et conseillé pour les autres, tant les différentes classes du jeu sont vraiment complémentaires (ce qui ne manquera pas de faire plaisir au joueur). Il vous est également possible d’établir avec les autres joueurs différents types de relations : amis, maître et disciple ou amants (cela devient courant dans les MMO d’aujourd’hui). Chacune procure des avantages concrets qui sauront vous convaincre de faire le premier pas vers l’autre. Bien entendu, il vous est également possible de fonder des guildes. Certains argueront que les possibilités de relations hostiles sont beaucoup moins développées (je pense notamment au mode pvp anecdotique), mais c’est l’esprit du jeu qui veut ça. Notons enfin que le système d’artisanat nécessite lui aussi des interactions entre joueurs : six métiers de récolte différents sont proposés (Meditation, Fishing, Forestry, Farming, Mining et Herding) mais il est indispensable de se spécialiser dans l’un d’eux et de faire appel aux autres si besoin.

Les matériaux récoltés sont des ressources indispensables pour qui s’adonne à l’alchimie. Cette science permet de crafter ses propres potions, armes ou équipements à partir des recettes trouvées sur les monstres ou dans des jarres bleues disséminées çà et là. Le système, peu complexe, permet de produire une vaste palettes d’objets de très bonne facture. Les matériaux récoltés servent aussi à upgrader votre arme : celle-ci acquiert de l’expérience parallèlement à la vôtre, et peut être améliorée une fois un certain quota d’XP atteint. Vous pouvez aussi la booster en lui associant des pierres magiques nommées Onyx (très recherchées), mais cette dernière option nécessite hélas d’avoir recours à l’item shop (eh oui, on s’y attendait un peu). Il faudrait encore quelques paragraphes pour évoquer l’ensemble des possibilités de Dream of Mirror Online. Mais je préfère vous les laisser découvrir par vous-même. Car malgré ses quelques défauts, ce MMO dispose de suffisamment d’atouts pour mériter votre attention, sa gratuité n’étant que la cerise sur le gâteau. A noter qu’il est en anglais mais qu’un patch de traduction de l’interface en français peut être facilement trouvé sur le net, donc profitez en!

J’en ai peut être pas l’air, mais je suis un super combattant, alors attention!

Test dans les détails

Personnalisation

On est loin des MMORPG payants avec leurs multiples fonctionnalités. En effet, la personnalisation n’est pas très poussé. Une coupe de cheveux et…et c’est à peu près tout ce que l’on trouve. Cependant, avec les différentes classes et les différentes races, auquel on ajoute les nombreuses armures et armes, vous avez de quoi personnaliser votre personnage pour ne pas qu’il ressemble à la première personne que vous voyez dans le jeu. Par contre, comme vous commencez citoyen, les clones sont partout, et pour remedier à cela, il vous faudra choisir une profession au level 10.

Les Classes

Vous débutez dans le jeu en tant que citoyen. Ce n’est qu’au level 10 que vous vous spécialisez dans l’un des différentes classes proposées. Vous serez content d’apprendre que les classes sont plutôt nombreuses! Le mercenaire dit le « tank » du jeu : pas beaucoup d’attaque mais une défense à toute épreuve, le swordman, l’inverse du mercenaire, c’est à dire beaucoup d’attaque et une moins bonne défense, le martial artist, qui se sert de gants ou d’un baton pour se battre (il est très rapide et à beaucoup d’HP, le shaman, qui est l’élémentaliste du jeu, le wizard, où plutôt le sorcier (utilse des scrolls pour lancer ses sorts), le docteur (le healer du jeu), le musicien (celui qui buff, attaque avec son instruments), le voleur (ils utilisent des poignards et peuvent voler les items des monstres.) et pour finir, le chasseur, qui utilise son arc.

Les niveaux et l’XP

Le niveau maximal est tout à fait accessible dans ce MMO. En effet, les développeurs ne souhaitaient pas reprendre le même style de ce côté là. Les niveaux se montent assez rapidement, en solo ou en groupe. Cela va ravir les joueurs qui en ont marre de taper et taper sur le même monstre. Des tas et des tas de choses sont à faire dans DOMO autre que les niveaux. Sinon, on peut changer de profession à tout moment, et on doit donc augmenter les niveaux de chaque classe. Pourquoi pas!

Les Donjons et les Boss

Les donjons, les fameux sous-sols, les caves et j’en passe du monde de DOMO sont nombreuses. Le but est de passer d’immenses couloirs et de tuer les monstres qui vous bloquent. Au final, on arrive devant un monstre géant, qui est-ce? C’est bien évidemment le Boss. Est-il fort? Eh bien oui, c’est pourquoi si vous êtes seul, faite votre prière. En effet le but de ce jeu est de compter sur l’aide des autres joueurs pour vaincre les ennemis. Vous y arriverez bien plus facilement si vous êtes à plusieurs sur un Boss, mais préparez tout de même un bon stock de potion, ou alors amenez aec vous des docteurs pour qu’ils puissent vous healer.

Les équipements

Comme d’habitude, les armes et les équipements sont divisés selon les classes, et on peut porter telle ou telle armure en fonction du niveau. Les équipements sont plus ou moins variés, avec des bottes, des armures lourdes ou légères, des robes pour les magiciens etc… Les armes sont tout aussi nombreuses. En effet, chaque type de classe à son propre type d’arme, donc avec une dizaine de classe, on est servi. Plus on avance dans le jeu, plus on aura des armes élégantes, et évidemment bien plus puissantes. Cela vaut aussi pour les armures, bien entendu.

Les drops

Tuer un monstre dans DOMO est une chose assez facile, mais les drops (les objets qui tombent des monstres après les avoir tués) se font plus rare. Effectivement, si vous souhaitez obtenir une arme ou une armure par l’intermédiaire d’un monstre, ce n’est vraiment pas du tout la bonne solution, puisque vos chances de succès sont très faibles. Le mieux est d’aller au PJN et acheter ce dont vous avez besoin. Même les Boss, qui sont souvent plus généreux en matière de dropage, sont parfois égoïstes. Cependant, les monstres lâchent tout de même les objets quêtes, entre autre.

La communauté

Les MJ sont là de temps en temps et vous aideront du mieux qu’ils peuvent. Lorsque vous êtes bloqué dans une quête, demandez s’ils connaissent le moyen pour réussir la quête. Si jamais les MJ ne sont pas présents (ils ont quand même une vie en dehors du MMO), vous n’avez qu’à aller sur Internet, vous trouverez facilement ce dont vous avez besoin. Du côté des joueurs, il faut savoir que ce jeu ammène surtout les plus jeunes de part son aspect « cartoon » et très coloré. C’est pourquoi, certains seront impolis, et d’autres seront ravis d’offrir leur aide. C’est donc mitigé.

Le Cash Shop

Le Cash Shop offre de nombreuses possibilités. Cependant, les joueurs voulant avancer dans le jeu ne seront pas obligés de passer par le Cash Shop. Certains vous diront que oui, mais avec de la patience, on arrive très bien à s’en passer. Des potions qui offrent des boosts d’expérience, des pierres pour l’artisanat afin de ne pas détruire une arme, bref tout ce qu’il y a de plus classique. Sinon, on peut obtenir des objets du Cash Shop sans dépenser le moindre euro, il suffit d’avoir enormement de monnaie virtuelle dans le jeu et d’acheter ce dont vous avez besoin à prix exorbitant.

Qualité vidéo, graphismes, bande-son

Au niveau des graphismes, on se rapproche d’un Ragnarok en version 3D (certains le compare à Wind Waker et il y a de quoi). Pour les amateurs du genre, c’est de toute beauté. Il n’y a rien à signaler dans ce domaine, c’est vraiment bien fait, un grand bravo aux graphistes de DOMO. Seulement, d’autres joueurs trouveront que le Design est trop « enfantin » et trop peu détaillé. Côté bande-son, c’est mitigé. En effet, les bruitages sont pour ainsi dire inexistants, d’où on se croirait dans un cimetierre. Pour les musiques, c’est l’inverse, car les thèmes sont vraiment réussis et correspondent vraiment à l’environnement du jeu.

Je suis un ange descendu du ciel? En fait, non, je m’efforce de tuer ce Boss en groupe!

Test en général

Graphismes

Si l’on ne jugeait les graphismes de DOMO que sur le plan technique, la sévérité serait de mise, la 3D étant anguleuse et fort peu détaillée. Heureusement, le style visuel fait mouche sur le plan artistique, mariant agréablement ses personnages cel shadés et ses environnements aux textures cartoon. Plutôt sympa.

Jouabilité

Le gameplay n’est pas seulement axé sur le monster bashing, ce qui est appréciable, vu que c’est la grande mode aujourd’hui. En revanche, l’interface est perfectible, requérant trop souvent l’ouverture de fenêtres successives et proposant des icônes de raccourci assez peu parlantes. Reste la possibilité d’utiliser des macros pour vous simplifier la tâche. A noter que les traditionnels indicateurs de quête sont remplacés par un bâtiment qui référence les missions disponibles. Une bonne idée très « roleplay » dans l’esprit,donc pourquoi pas.

Durée de vie

Pour une fois dans un MMORPG asiatique, l’intérêt réside moins dans le levelling (le niveau maximum n’ayant rien d’inaccessible) que dans la possibilité de monter successivement plusieurs professions tout en conservant le même personnage. Qui plus est, il y a beaucoup de choses à faire dans DOMO, que ce soit dans le domaine du PvE, du craft ou des relations sociales (le PvP restant quand même assez anecdotique). Les joueurs ayant marre de monter des levels encore et encore seront contents de voir ce F2P.

Bande son

La bande-son du jeu est très inégale. D’un côté, nous avons des bruitages quasi-inexistants (il faut voir le silence de mort qui règne auprès d’une mine en activité) et de toute façon assez pénibles quand ils témoignent de leur présence (on aurait aimé des bruitages plus harmonieux, par exemple la chute d’une cascade paisible). De l’autre, nous avons des thèmes musicaux particulièrement réussis, qui correspondent bien aux environnements.

Scénario

La quête principale est un peu plus intéressante et les personnages sont un peu plus loquaces que de coutume (d’ailleurs, on pourrait dire que la plupart des MMO ont un scénario quasi-inexistant). Mais l’univers déçoit, et malgré les emprunts du background à la mythologie chinoise, ce n’est pas encore cette fois qu’on aura droit à un scénario digne de ce nom dans un MMORPG. Il faudra donc encore attendre un peu…

Les graphismes sont franchement mignons, et un homme repoussant comme lui semble adorable!

Note générale du Jeu : 6.5/10

Dream of Mirror Online est un MMORPG digne d’intérêt. Pour peu que vous accrochiez à son univers naïf et pas forcément très original, vous découvrirez un jeu addictif et gratifiant en matière d’évolution des personnages, mais aussi agréablement fourni en ce qui concerne les possibilités d’interactions entre joueurs. Ce titre rafraîchissant, dont la gratuité n’est pas le moindre des atouts, est même susceptible d’attirer un public habituellement réfractaire au genre. Vous trouverez d’ailleurs des patchs permettant d’avoir le jeu en français, même si l’on aurait préféré une « véritable » traduction.

Note importe : Le test a été réalisé avant 2012 et certaines parties du test ne sont donc plus à jour.

Menu :

PARTAGEZ CE TEST

  • Facebook
  • Twitter
  • Myspace
  • Reddit
  • Delicious
  • Digg

Mots clefs : | | | | | | | | |

Un commentaire pour "Dream of Mirror Online"

  1. Varos 21 juillet 2013 à 23 h 51 min - Reply

    Si vous voulez rejouer à DOMO signé cete pétition svp :

    http://www.ipetitions.com/petition/save-dream-of-mirror-online/

Laisser un commentaire